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| Concours n°15 - Dépendance - Votes | |
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Quel est ton texte préféré ? | Participation 1 | | 12% | [ 2 ] | Participation 2 | | 24% | [ 4 ] | Participation 3 | | 18% | [ 3 ] | Participation 4 | | 46% | [ 8 ] |
| Total des votes : 17 | | Sondage clos |
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Informations et autre bazar |
| Sujet: Concours n°15 - Dépendance - Votes Lun 10 Aoû 2015 - 12:12 | |
| Concours d'écriture n°15 Dépendance Alors ! Je suis trèèèès heureuse parce qu'il y a non pas 1, ni 2, ni même 3 mais bien... 4 participations ! Donc, déjà je remercie les participants, vos textes sont géniaux. Oui, mais tout de même il va falloir les départager. Et c'est toi, oui toi, Invité qui va m'aider. Tu as jusqu'au 17 août pour voter pour la participation que tu préfères. - Participation 1:
Les tremblements parcourent son corps. Les larmes parcourent ses joues. Elle est assise sur ce lit qui n'est pas le sien dans une chambre qui n'est pas la sienne, dans un appartement qui n'est pas le sien. Elle entend des pas et sait que dans quelques instants la porte va s'ouvrir. Elle soulève la couverture, s'allonge et se recouvre de ce bouclier. L'odeur émanant de la couverture la fait suffoquer. Ses sanglots se renforcent. Elle sent qu'une main se pose sur son épaule, enfin sur la couverture. Elle a envie de la virer de là avec violence. Elle n'en fait rien. Elle reste cachée, les yeux fermés, les paupières pressées l'une contre l'autre, le visage déformé par ses sanglots. Sanglots desquels ne proviennent plus aucune larme, il n'y a plus que ces secousses, ces crispements qui parcourent tout le corps. Elle sent la main se déplacer et essayer de soulever la couverture. Elle la tient fort. On ne lui volera pas son bouclier. Elle ne veut pas voir ce regard qui l'attend, ce regard triste. Son prénom est doucement chuchoté. Il y a un je suis désolé aussi. Elle réussit à respirer l'espace de quelques instants. Elle arrête sa respiration pendant quelques secondes. Son corps arrête de vibrer. Elle ne ressent plus rien, plus rien du tout. Elle garde ses yeux fermés mais relâche la couverture. Elle sent que celle-ci est doucement tirée vers le bas de façon à ce qu'il n'y ait plus que ses jambes qui soient gardées aux chaud. Elle ne se retourne pas. Alors, la silhouette à ses côtés la déplace lentement de façon à ce que son visage lui fasse face. Un frisson la parcourt et ses paupières se plissent, elle en met de l'effort afin de garder ses yeux fermés. Elle ne cédera pas. De toute façon qu'est ce que ça peut bien lui foutre? Hein? Des légers tremblements secouent de nouveau son corps qui semble frêle et fragile. La main lui caresse la tempe gauche et malgré elle, son visage se détend. Des lèvres se déposent sur les siennes et elle se hait. Elle se hait parce que ses mains caressent des cheveux qui ne sont pas les siens et parce que ses yeux se sont ouverts. Merde. C'est pour ça qu'elle ne voulait pas les ouvrir. Le néant qui lui sert de sentiment actuellement est heurté par l'expression triste qui lui fait face. Je suis désolé. Son expression à elle ne doit pas être fameuse non plus. Elle ne dit pas tais toi, elle ne lui dit pas non plus de partir, qu'elle en a marre, qu'elle n'en peut plus. Elle l'embrasse tout simplement. Et cela parle pour elle. Elle sent un sourire parcourir les lèvres de ce visage qui de base était triste. Il y a dans ce sourire quelque chose de victorieux, quelque chose qui lui riait au nez. Je t'aime, j'ai besoin de toi. Ces mots la percutent comme si on venait de lui envoyer un choc électrique en pleine face. Elle sent sa main percuter ce beau visage et elle entend un paf. Le visage sourit toujours mais a l'air désolée et non victorieux cette fois-ci. Toi aussi tu m'aimes et toi aussi tu as besoin de moi. Elle serre ses dents. Bordel qu'est ce qu'elle aimerait lui arracher ce maudit sourire. Elle sent ses yeux se brouiller quelques peu. Une larme coule, elle est furieuse. Connard. Vas te faire voir. Le visage s'allonge à ses côtés et instinctivement elle fourre sa tête dans sa poitrine. La main qui a soulevé la couverture vint se poser sur ses cheveux et lentement caressa sa tête. Elle est bien là. Elle ne pense plus à la journée qui a précédé, aux mots tellement douloureux qui ont été prononcés. Comment peut on aimer deux personnes à la fois? Elle soupire. Connard. Si je n'avais pas tant de besoin de toi, je.. Elle soupire à nouveau. Ses pensées se brouillent, elle ne perçoit plus que cette odeur addictive, tellement addictive. Ils font finir morts, à la Roméo et Juliette sauf que ce sera fait consciemment. Ils sauteront du balcon, ou mélangeront pleins pleins pleins de médocs. Cette passion est destructive, tellement destructive qu'elle ne peut plus s'en passer. Que ce soit ses baisers, son odeur ou ses mots, elle ne peut plus se passer ne serait que d'une partie de lui. Enfin, si, la partie de lui qui aime autrui elle aimerait bien qu'elle parte ouais. Mais de toute façon elle n'a pas le choix, elle n'a pas la force de s'enfuir même si ce serait la décision la plus saine à prendre. Malheureusement, dans cette relation rien n'est sain, rien.
- Participation 2:
Elle était allongée sur le dos, dans son lit, fixant le plafond. Au creux de sa main droite était niché son téléphone portable, alors que son autre main était posée sur sa poitrine, comme pour serrer son cœur. Il battait fort. Très fort. Était-ce normal? Elle n'en était pas sûre. Mais peut-être que ça l'était. Tout lui semblait si différent, comme si elle avait changé de monde. Comment une personne pouvait être capable de provoquer cette impression? Comment un seul baiser avait pu la bouleverser à ce point ?
Rien qu'en y repensant, elle sentit son cœur s'emballer encore plus. Chacun de ses battements résonnaient en elle, réclamant quelque chose. Et elle savait exactement quoi. Elle voulait la revoir. Lui parler. Lui demander des explications, peut-être. Non, elle s'en fichait des explications. Elle voulait juste la voir. Contempler son sourire. Voir ses yeux s'illuminer. Sentir son odeur. Entendre sa voix. La toucher. Prendre sa main. Sentir à nouveau ses lèvres contre les siennes...
Elle avait besoin d'être près d'elle.
C'était un désir aussi impérieux qu'irrationnel. Elle était incapable de l'explication, mais elle n'arrivait pas à penser à autre chose. Elle voulait être près d'elle, et ne plus jamais la quitter. Son téléphone vibra et elle se redressa d'un coup.
- Allô ? fit-elle en décrochant. - Salut, c'est moi.
Sa voix. Un frisson de bonheur la parcourut et son cœur se fit plus léger. Elle ne l'avait pas oubliée. Apaisé, son esprit se détendit. Il avait obtenu ce qu'il voulait, il pouvait cesser de réclamer. Pour l'instant, elle n'avait plus qu'à profiter de sa voix au téléphone. Et puis elle devra raccrocher, et à nouveau ressentir ce vide et ce besoin de la voir, jusqu'au lendemain matin, lorsqu'elle la retrouvera à l'école. Et alors, en plus d'entendre sa voix, elle verra son sourire. Elle lui prendra peut-être la main, et leurs doigts s'entrelaceront, heureux de se retrouver. Peut-être même qu'elle l'embrassera, de sa propre initiative cette fois.
L'amour est bel et bien une drogue...mais c'est sans conteste la plus agréable de toutes.
- Participation 3:
L'impression de ne pas vivre. La sensation d'être cet objet soumis à tes moindres désirs. Le sentiment d'être dépendante à toi, toi, toi. Toi, et toujours toi.
Aujourd'hui, je vais au parc d'attraction. Nous sommes sept, mes amis et moi. Nous avons grandi ensemble, ayant partagé les mêmes cours pendant près de quinze ans. Cette année scolaire fut notre dernière, la belle époque a pris fin, c'est la raison pour laquelle nous avons décidé de passer du temps ensemble avant de nous séparer. Aujourd'hui encore, c'est à toi que je pense.
Parmi nous, il y a Juliette et John, le petit couple qui s'est discrètement formé. Je les envie. Juliette semble tellement heureuse lorsqu'elle me parle de John... J'aurais aimé, moi aussi, lui parler joyeusement de toi, mais ce n'est pas possible... Comment dire. Tu as fait naître en moi beaucoup de sentiments incontrôlables et douloureux. J'en souffre. Tu. Tu me fais mal, là où l'être humain est le plus vulnérable. Par ta faute, mon coeur fissuré s'est remis à battre.
Nous nous dirigeons vers le train fantôme. Je sais que c'est le genre de chose qui effraie Juliette. Je me retourne avec l'intention de la rassurer, mais John m'a devancée. Il lui chuchote des mots et lui caresse la main. Son regard paraît tendre. C'est le regard que tu n'as jamais posé sur moi.
Nous entrons dans le train. Il se met en route. A l'intérieur des grottes, d'effrayantes créatures se jettent sur nous. Je détourne parfois le regard pour éviter d'avoir peur. Juliette, quant à elle assise devant moi aux côtés de son petit-ami, se met à sangloter. John la prend dans ses bras, il la plaque contre lui pour la rassurer. Moi aussi, j'ai besoin de tes bras.
A la sortie du train fantôme, Juliette est toujours blottie dans les bras de John. Antoine me chuchote « Ils sont mignons, hein ? » et je les observe silencieusement. Antoine, c'est le surdoué du groupe. Il est déprécié par beaucoup de personnes mais je l'aime bien. Antoine, c'est aussi le prénom d'un autre garçon que j'aimais il y a quelques années, à l'époque où je t'ai rencontré. Je l'aimais, mais mes sentiments n'étaient pas réciproques. Lorsque j'ai commencé à développer des sentiments pour toi, j'ai pensé que tu me rendrais heureuse, que tu prendrais soin de moi. Grâce à toi, j'ai pu oublier Antoine. Mais à cause de toi, ma souffrance s'est multipliée. Tu m'as menti. Tu as joué avec moi. Tu t'es servi de moi.
Nous passons devant des peluches. Manon, la fille qui adore se promener avec des peluches, se précipite vers elles en criant. Je la suis lentement, les yeux remplis d'étoiles. J'aimerais trouver une peluche qui te correspondrait. Un macaque, un ouistiti, un singe. Je lui donnerai ton joli prénom, et je le câlinerai sans cesse, sans jamais me lasser. Je lui fournirai tout l'amour dont j'aimerais te combler. Oui, j'ai envie de toi.
Tout à coup, j'appelle Andréa qui s'était éloignée. Je me suis rapprochée de cette fille depuis quelques années seulement, mais je l'aime beaucoup. Elle est à la fois folle et mature, capable de rire bêtement avec moi à tout instant. Je lui montre un singe en peluche, un sourire embarrassé sur mes lèvres. Je sais que je ne ramènerai pas ce singe chez moi. Je n'aurai pas la chance de dormir à ses côtés, ni même l'occasion de le caresser dans le silence et l'obscurité. Des larmes me montent aux yeux. Je ne t'aurai pas.
Paul, un des garçons, fait remarquer qu'il y a un groupe de filles bruyantes au loin. Je t'imagine aux côtés d'une fille. Entouré par des dizaines d'autres filles, toutes plus jolies les unes que les autres, toutes prisonnières de ton charme dangereux, toutes victimes de ton sourire irrésistible. Je m'imagine à l'écart, le visage en larmes, serrant une peluche contre moi. Je me demande pourquoi. Pourquoi ne puis-je pas être la reine de ton coeur ? Le simple titre de princesse me suffirait. Je souris, m'imaginant auprès du prince que tu es. Je souris tristement, me rappelant que tu m'es éternellement inaccessible.
Je sais que tu me fais du mal. Je sais que tu me détruis. Je sais que je ne dois pas t'aimer, mais malgré tout, je ne peux me détacher de toi. Tu es ma drogue, cellle qui me tue à chaque instant, mais sans qui je ne pourrais survivre. Tu es une drogue, ce qui m'est interdit mais que je désire plus que tout. Tu es cette drogue, celle qui jour et nuit influe sur mes pensées et mon comportement.
- Participation 4 - Complainte d'un peintre:
Cela fait tellement longtemps que je suis ici, tellement longtemps que je ne l'ai vue pour la dernière fois. Mes ongles ont arraché ma peau, je crois. Ma poitrine me brûle depuis un moment, je ne sais pas chiffrer "moment" ; je n'ai pas de montre. Ma chambre est terne, grise. Le bonheur l'a quitté parce qu'elle l'a fait, cela fait tellement longtemps qu'elle est partie. J'ai besoin d'elle, je ne peux pas vivre sans elle. Il faut que je sorte pour la retrouver mais je ne sais pas où elle a bien pu aller. Elle m'a abandonné ici, dans la misère. Je n'arrive pas à respirer.
Je traîne mon corps dans la pièce, ayant perdu la faculté de marcher. La douleur est de plus en plus intense. Je sens que je salive trop, que mon cœur bat trop fort. Même mes mains, jadis si précises, tremblent et je ne peux pas me contrôler. "En manque"? hein ? Ils disent ça des drogués, de tous ces gens qui consomment des substances qui affectent le fonctionnement du cerveau. Mais je n'en fais pas partie, je ne consomme rien, hein ? J'ai juste besoin qu'elle soit là, près de moi, sinon je me sens mal, comme si une partie de moi avait disparu. Il faut que je la voie.
Je crois que je me suis blessé, je n'en sais rien. Je ne vois qu'un nom gravé dans les parois de mon crâne, le reste n'existe plus. J'ai besoin d'elle pour être heureux, comment je vais faire maintenant ? Comment je vais sourire sans elle ? Il suffirait que je ressente sa présence une autre fois, juste une fois ! Je veux la voir, ne serait-ce qu'une fois. Après, ça ira mieux, tout ira mieux. Je pourrai vivre, être heureux. Ma voix sonne dans la pièce vide. Où es-tu ? Je sens que je deviens fou sans toi. Je pense que j'ai du sang sous les ongles, ma peau me fait mal. Mais à quoi bon si je ne peux plus l'avoir ? Elle était tout ce qui me restait, tout ce qui me rendait heureux. Maintenant, je n'ai plus qu'à abandonner ce monde incomplet sans elle.
Quelque chose n'est pas normal, je souffre tellement. Je ne suis peut-être qu'un drogué après tout et je ne pourrai plus jamais toucher à ma drogue préférée. Je ne pourrai plus jamais rire ni sourire. Le bonheur ne sera plus qu'une idée lointaine d'ici quelques jours. Peut-être qu'ils sont même déjà passés. Les mots vides sonnent à nouveau dans la pièce. Où es-tu, pourquoi m'as-tu abandonné ? Qu'ai-je fait pour mériter tant de malheur ? Oh reviens auprès de moi, je t'habillerai bien, je te couvrirai de présents. Je serai gentil, le parfait amant. Je me plierai à ta volonté quand il le faudra et t'aimerai alors reviens. Je ne peux pas vivre sans toi. "L'addiction", c'est comme ça qu'on appelle ça, non ? Dans ce cas, je suis totalement dépendant de toi alors je t'en prie, reviens égayer mon monde. Toi seule sait le faire, toi seule sait raviver le gris terne qui a envahi mon monde. Je t'en prie, Couleur, reviens-moi.
Voilà, mes loulous. Et toi, Invité pour qui as-tu voté ? |
| | | Sujet: Re: Concours n°15 - Dépendance - Votes Lun 10 Aoû 2015 - 13:19 | |
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Informations et autre bazar Depuis le : 14/08/2015 , j'ai fait gagner : 0 points ce mois-ci à la faction : Aucune en jouant : 462 fois sur Epicarena : . Absence indéterminée en ce moment, je souis désoley jvous aime, la vie est rude
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| Sujet: Re: Concours n°15 - Dépendance - Votes Ven 14 Aoû 2015 - 14:55 | |
| Voté ! Ouah c'est beau ♥ To stop feeling émotions, to stop wanting to feel them, is to feel.. Death. |
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Informations et autre bazar Depuis le : 29/11/2013 , j'ai fait gagner : 0 points ce mois-ci à la faction : bolchévique en jouant : 849 fois sur Epicarena : .
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| Sujet: Re: Concours n°15 - Dépendance - Votes Sam 15 Aoû 2015 - 22:25 | |
| C'est assez intéressant que le terme « dépendance » évoque la dépendance amoureuse d'une femme envers un homme ou une femme dans trois cas sur quatre. Chaque texte a d'ailleurs son atout, ils sont très agréables à lire, bien pensés et j'ai passé un bon moment en les découvrant. Mais c'est quand même dommage qu'on retrouve autant de fois ce thème. Surtout le fait que le personnage principal soit toujours féminin. Je n'ai rien contre les personnages féminins, et je suis moi-même une fille (si y'a des gens qui l'ignorent encore), mais pour ce genre de thème, je n'aime pas trop, ça donne l'impression que les femmes sont faibles (surtout le premier et le troisième texte, en fait). Bon, c'est bête, mais ça me donne envie de dire : non, l'unique intérêt des personnages féminins n'est pas de tomber amoureuse. Ce n'est pas ce qui définit une femme. Voilà. Enfin, je ne dis pas cela pour critiquer ces textes, surtout qu'ils sont très bien écrits et que je les ai franchement aimés. Mais lorsque je les ai lus, c'est la première chose qui m'est venue à l'esprit, et ça m'a un peu gonflée. Et je crois que j'avais besoin d'exprimer publiquement mon mécontentement certain envers certains préjugés de la société.
Bref, et le quatrième ? À un moment, j'ai cru qu'on allait partir sur un texte à la Lautréamont. Ce qui ne m'aurait d'ailleurs pas dérangée. x) Le texte est un peu complexe, et mêle ici la dépendance amoureuse masculine (encore) à la passion du peintre pour la couleur. Oui, ça fait très commentaire de texte, que voulez-vous, les mauvaises habitudes ne se perdent pas. Le fait que son auteur ait pensé à faire cela... woaw. C'était bien pensé, et bien réalisé. J'admire. |
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Informations et autre bazar Depuis le : 21/06/2015 , j'ai fait gagner : 0 points ce mois-ci à la faction : Riddle en jouant : 3128 fois sur Epicarena : . Les llamas domineront le monde !!
CA SE PRONONCE nUUUUUelle
Mes médailles : : |
| | | | Sujet: Re: Concours n°15 - Dépendance - Votes Dim 16 Aoû 2015 - 1:55 | |
| - Citation :
- Je t'en prie, Couleur, reviens-moi.
Dat plot twist, tho. IRU, ANGE GARDIEN 04/05/18 |
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Informations et autre bazar |
| Sujet: Re: Concours n°15 - Dépendance - Votes Dim 16 Aoû 2015 - 12:46 | |
| Je suis tout à fait d'accord avec toi Réo, tu m'ôte les mots du clavier ! Mais en tout cas, bravo à tout le monde. |
| | | Invité
Informations et autre bazar |
| Sujet: Re: Concours n°15 - Dépendance - Votes Lun 17 Aoû 2015 - 4:45 | |
| Voté. Juste à temps. Bravo à l'auteur de la participation 4, ce fut une agréable surprise. Même si je n'ai pas voté pour ce texte.
Oh, et aussi. Merci aux quinze personnes qui ont voté. Vous avez embelli ma soirée. |
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| Sujet: Re: Concours n°15 - Dépendance - Votes Mar 18 Aoû 2015 - 8:40 | |
| Juste pour dire que les résultats seront dévoilés dans la soirée ou sinon demain matin (oui, j'ai un peu de retard, chut ♥ ) |
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| Sujet: Re: Concours n°15 - Dépendance - Votes | |
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| | | Concours n°15 - Dépendance - Votes | |
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