CdC : La journée est belle \o

CdG : J'ai mal aux jambes du jogging d'hier :x

cdc. On avait tellement besoin de ça... ♥

CdC : ♥.

cdc. Et la bonne musique en plus ♫
cdc. Till qui chante en russe = ♥

cd-: la pleut.

cdc. Barbec!

CdC : Je passe une super journée \o/

CdG : Je trouve pas de shiny

cdc. J'ai aussi passé ma meilleure journée depuis un moment, et aussi avant un moment...

CDC : Mardi,

cdg. Je veux un dimanche infini. Svp.

CdC : Je passe toujours un bon moment
CdG : J'ai la cheville gonflée :x

cdg: I'm the loneliest of all

cdg. Je paye bien ma bonne journée d'hier

cd- : *câlins à tous ceux qui voient ce message*

cdg. Allemagne.

cdg : Ces cauchemars étaient particulièrement éprouvants.

cdfail: Oh j'vais bientôt avoir 1888pts de nouveau
cdc: Ah d'ailleurs samedi soir, on a fait un jeu d'humour semblable à card against humanity où c'est toi qui écris le truc à compléter, et j'ai gagné avec des allusions aux prouts. Aaaaah, que c'est bon de jouer avec des gens qui répondent bien à l'humour, le vrai.
cdg: Inclavatus n'a toujours pas ouvert

Cdg : Oh, tien. La sorcière est de retour.
.

cdc. Je suis content pour lui (et pour elle par la même occasion )
cdg. Ce con qui profite de son anniversaire pour lui taper converse.

CDC; Je me remets à écrire quotidiennement, lentement et à chaque fois ça me fait cet effet, celui de revivre, d'être en accord avec moi-même. J'aimerais vraiment pouvoir revenir sur Epica aussi mais en ce moment, je privilégie l'écriture. C'est peut-être un peu égoïste quelque part mais tant pis. Je travaille sur mon bouquin, je travaille sur mes personnages, je leur donne vie et consistance. Et franchement c'est tellement bon. Y'a des fois où je m'arrête soudainement d'écrire et je me rends compte que j'ai écris des lignes, des lignes et des lignes où je n'étais plus moi-même mais mon propre personnage. Je m'attache, j'accorde de l'importance aux détails insignifiants et je regagne peu à peu ce que j'ai perdu en terme de confiance, d'écriture. Faire quelque chose qu'on aime, prendre le temps de le faire, c'est une sensation tellement agréable. Grisante.

CdC : Je suis Riddle \o
CdG : J'ai pris la pluie en allant faire les courses

cdg. Reparti pour un tour...
cdc. En tout cas ça c'est certain, c'était pas le hasard.

CDC;

OH MY FUCK** GOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOD:

cdc:

Alpheratz a écrit:

CDC; Je me remets à écrire quotidiennement, lentement et à chaque fois ça me fait cet effet, celui de revivre, d'être en accord avec moi-même. J'aimerais vraiment pouvoir revenir sur Epica aussi mais en ce moment, je privilégie l'écriture. C'est peut-être un peu égoïste quelque part mais tant pis. Je travaille sur mon bouquin, je travaille sur mes personnages, je leur donne vie et consistance. Et franchement c'est tellement bon. Y'a des fois où je m'arrête soudainement d'écrire et je me rends compte que j'ai écris des lignes, des lignes et des lignes où je n'étais plus moi-même mais mon propre personnage. Je m'attache, j'accorde de l'importance aux détails insignifiants et je regagne peu à peu ce que j'ai perdu en terme de confiance, d'écriture. Faire quelque chose qu'on aime, prendre le temps de le faire, c'est une sensation tellement agréable. Grisante.

Oui

cdg: J'ai envie que ça cesse une bonne fois pour toutes mais je crois qu'il faudrait faire tout péter pour cela

CDG : Il me manque tellement. Tout me fait penser à lui ici, je n'arrive à rien. Mon corps ne veut pas de nourriture, mes yeux ne veulent pas cesser de pleurer. Mon coeur ne veut pas se calmer.
Il me manque, c'est affreux. J'aurai tellement aimé qu'il ne passe ne serait-ce qu'une nuit de plus à mes côtés. Son absence s'est tellement faite ressentir. Se réveiller en criant, en larmes. Et ne pas trouver ses bras pour se blottir, son cou pour se réfugier. Et juste sa respiration pour se calmer.
Tout est tellement vide sans lui, tellement calme, tellement moins attrayant. La cabane me rend triste, mais je n'ai pas envie de la quitter, c'est là que nous avons passé le plus clair de notre temps, nous nous sommes fait des souvenirs dans cet endroit, et puis, il y a toujours son odeur. Mais c'est tellement dur d'y rester alors qu'il n'y est plus. C'est tellement triste d'y aller en marchant par ses propres moyens, j'aimais tellement monter sur son dos pour faire le trajet. Ou le trainer en le tirant par la main. Tristesse et désolation. Tu me manques mon crapaud, reviens vite à la maison.