Je ne suis pas digne d'etre ton esclave ton ange, Monsieur.

J'aime pas repasser ici et lire les messages que je t'ai laissés. Ils sont moches. Celui-ci l'est également.

Bonjour, Monsieur. Mhh. Comment vas-tu ? J'ai une soudaine envie de remettre les avatars que tu m'avais faits. Je préfère garder mon avatar actuel pour le moment. Mais je garde les tiens bien précieusement. Quels doux souvenirs.
Le Piratepad ne fonctionne plus chez moi, depuis. Quelques semaines ? Jours ? Semaines. (J'ai perdu la notion du temps.) Je me demande s'il fonctionne toujours, de votre côté. J'ai envie de vous lire, meh, ne nous oublions pas. Ne m'oublie pas, d'accord ? Je ne t'oublierai pas.
En fait, nos souvenirs pourraient s'effacer, si ce n'est pas déjà le cas. Mais je n'oublierai jamais que je t'apprécie particulièrement. La vie m'effraie, tu sais ? Nous ne sommes pas proches. Mais je me demande souvent ce que tu deviens. Tes études, ta vie, ton sourire. J'ai peur de t'imaginer triste. C'est effrayant. Mais tu es en vie, c'est déjà ça.

Je suis sure qu'irl tu es adorable. Mais je ne le saurai probablement jamais. C'est peut-être mieux ainsi. Et puis comme ça, j'aurai toujours une bonne image de toi. Le grand Monsieur pour qui j'éprouve tant de considération. Il m'arrive de trop idéaliser les personnes que j'aime, huhu, je suis désolée.

Je devrais m'arrêter là. "Mon ange, ta simplicité suffit à me faire sourire". Oups, une larme. Eumh. Alors je tenais à te laisser ce message, simplement pour te dire que je pense à toi. Je te souhaite plein de bonheur. Prends soin de toi, Monsieur.

J'ai soudainement pensé à toi.

Monsieur.
J'ai un élan de bonne humeur tout à coup, alors je voulais te transmettre un peu de joie. Enfin ce n'est pas de la joie. Plutôt la douceur d'un rêve brisé. J'ai envie d'être heureuse, tout à coup, ne plus penser aux choses qui me font du mal, et les transformer en source de tendresse. Je ne sais pas si ce que je dis a du sens. Ce n'est pas bien grave.

Tu me manques, et j'espère que tu vas bien. Bon courage pour tes études.
(Sasuke pense beaucoup à toi en ce moment, il parle toujours de toi quand je dis certaines choses.)

Monsieur, merci. Tu n'as pas besoin de savoir pourquoi. Merci.

Monsieur,

Je commence petit à petit à m'ouvrir à une amie. Il y a beaucoup de choses que je renferme en moi, ce qui me rend souvent agressive, notamment envers ma famille. Mais je n'arrive pas à en parler, et en même temps, je ne veux pas.
Internet, Epicarena, c'est le genre de chose que je n'assume pas du tout. Traîner sur internet, pour moi, c'est comme un crime, une honte.

Il y a quelques temps, j'avais vaguement parlé d'Epicarena à mon amie. Surtout pour les concours d'écriture, en fait, et pour une autre raison plus personnelle. Cette amie, quand je lui raconte des choses, j'ai l'impression qu'elle ne me comprend pas. Et bien souvent, j'ai peur de l'inquiéter.

Hier, je suis allée chez elle. Et puis on a parlé. J'avais toujours refusé de lui donner le nom d'Epicarena, parce que je ne voulais pas qu'elle découvre cette partie de moi. La fille fragile que je suis, qui s'énerve pour rien et accorde trop d'importance aux choses sans intérêt. Elle m'a posé une question concernant quelqu'un que j'ai fait venir sur le forum, quelqu'un qui occupait une place royale dans mon coeur, malheureusement, parce que je suis une chienne soumise. (L'époque est révolue, je me suis libérée de mes chaînes, ne t'inquiète pas.)
Mais j'ai juste dit quelques mots à ce sujet, puis j'ai tout de suite parlé de toi.

Toi. Pourquoi toi ? Tu es très important pour moi. D'abord parce que tu es toi, tout simplement. Mais je pense aussi que ton année de naissance a une influence sur mes sentiments. Je ne sais pas si tu es au courant, mais j'aime énormément ta génération parce que depuis mon enfance, vous vous êtes succédé et chacun d'entre vous a pris soin de moi. Vous m'avez donné l'envie et la force de vivre, de sourire, de grandir, et c'est pour cette raison que je vous aime tant. C'est grâce à vous que je suis en vie. Mon amie a dit que je suis née la mauvaise année, parce qu'elle pense que j'aurais été plus heureuse auprès de ta génération. Mais je ne sais pas. Notre différence d'âge me convient. Nos trois ans d'écart me permettent de vous considérer comme de vrais grands-frères et grandes-soeurs, de vrais exemples, des personnes que j'admire. Vous êtes cette génération que j'observe de loin et que j'aimerais atteindre en tendant le bras, mais l'admiration et le respect que j'éprouve envers vous m'empêchent de vous effleurer.

Et donc, j'ai parlé de toi. Je suis même allée fouiller la corbeille du forum pour lui montrer des messages. J'ai essayé de lui expliquer à quel point tu es merveilleux. Et puis tu sais. J'ai deux cousins en pleine adolescence, deux petits délinquants qui nous font beaucoup de mal. Très compliqué, et je ne pense pas que c'est le genre de chose à raconter, encore moins sur internet à un inconnu (pardon, je le mets en italique parce que. Je ne peux pas te considérer comme un inconnu. Tu es mon Monsieur, tu as ta place spéciale dans mon coeur, contrairement aux vrais inconnus). Mais tu sais, quand je vois mes cousins comme ça, j'ai l'impression qu'ils sont libres, qu'ils profitent de leur vie, qu'ils sont heureux. Même si au fond, je sais qu'ils ne sont pas heureux. Mais les voir faire ce qu'ils veulent, sans la moindre gêne, sans la moindre retenue, sans la moindre autorité parentale pour les retenir,  ça me. 'fin. Ca me donne envie de devenir comme eux. Parfois j'ai des envies comme ça, je veux sombrer dans la délinquance et me sentir libre. Parce que là j'ai l'impression de ne pas vivre, et ça me fait du mal. Je suis l'unique fille de ma famille, mais en plus je suis la dernière, derrière mes trois grands-frères (qui sont tous plus âgés que toi). Donc j'ai très peu de liberté, parce que mes parents ont peur qu'il m'arrive quelque chose, que je me fasse agresser, etc. Du coup, j'ai même pas le droit de sortir, j'ai l'impression de toujours être une enfant et ça me blesse au point d'avoir honte de mon existence.
Sauf que. Monsieur, quand de telles pensées traversent mon esprit, quand je souhaite sincèrement devenir une très mauvaise personne, il y a quelque chose qui me retient, qui me ramène à la raison. Il y a cette petite voix en moi, qui me dit "Tu ne peux pas, mon ange." Et puis là je viens de me mettre à pleurer ok ok.
Ce que je veux dire c'est que. Si tu regardes mon message précédent, je te remercie à la fin, sans t'expliquer pourquoi. Eh bien je te remercie d'être cette personne qui m'empêche bah pas de pleurer, non de sombrer dans la délinquance. Tu sais, j'ai toujours adoré me prendre pour un ange. Et quand tu m'appelles ainsi, ça me rend très heureuse. Mais en même temps, ça me fait mal. Parce que j'ai honte de prétendre être un ange. J'ai mal parce que t'as l'air de croire que je suis un petit ange innocent alors que je suis juste un monstre. C'est un peu comme si je te mentais, et ça me fait mal parce que je ne veux pas te mentir, je ne veux pas te décevoir. Tu es vraiment très important pour moi, même si on ne se connaît pas, même si on n'est pas proches, même si on ne s'est jamais vraiment parlé. Et qu'importe si mes sentiments sont réciproques ou non.
Du coup, mon amie a dit que tu as une bonne influence sur moi. Ca doit la rassurer. J'avais peur qu'elle ne comprenne pas le fait que je m'attache à des gens sur internet. J'ai dit que je vous fais confiance. (Vous, Rocking et toi, mais aussi PQ. D'ailleurs j'ai aussi parlé d'eux, hein.) J'ai pas peur. Je n'ai pas peur que vous me fassiez du mal, psychologiquement, comme on m'en a déjà fait. Je n'ai pas peur que vous jouiez avec mes sentiments. Je vous fais confiance, même si la peur m'envahit parfois (rarement), et mon amie a dit qu'elle a confiance en cette confiance que j'ai en vous (oui ma phrase est très moche).

Pardon pour la longueur de mon message.
Monsieur, tu me manques. J'aimerais beaucoup avoir de tes nouvelles, savoir que tu vas bien. De même pour Rocking et PQ. En ce moment, Rocking ne passe plus. Picdam non plus. Ca m'inquiète beaucoup, je commence à imaginer de mauvaises choses. J'espère que vous allez tous bien.

J'espère aussi que je ne vous embête pas trop. J'essaye vraiment d'éviter de vous écrire. Parce que je sais que vous n'avez pas forcément le temps, mais surtout, je sais que ce n'est pas le genre de choses que vous aimeriez lire. C'est toujours plus agréable de lire quelque chose de joyeux, non ? Je ne fais qu'écrire des choses désespérantes. Pardon.

Prenez soin de vous, mes petits choux. Je vous aime très fort.

Bonsoir, Monsieur.
Je tenais à te dire que tu me manques. Tu auras toujours une place importante dans. Mon esprit.
J'espère que tu vas bien. Prends soin de toi, d'accord ?

Je t'aime toujours autant. C'est affreux. De pleurer parce que tu me manques. C'est pas normal. C'est contre ma volonté. Je me sens crétine. Et daigner te le dire au risque de t'attrister, de t'inquiéter ou même de t'énerver, n'est-ce pas tout aussi crétin ?

J'espère que tout va bien pour toi, que tu es en bonne santé, que tu réussis ta vie, que tu souris, et qu'on te rend l'amour que tu donnes et que tu mérites tant. J'espère que tu es heureux, c'est tout ce qui importe.

Prends bien soin de toi, Monsieur. Je pense à toi.

(Et si les vilains problèmes de la vie vous, oui, vous embêtent, parce qu'il y a des pommes de terres indiscrètes qui vont me lire *fixe*, je propose de faire tomber une pluie de bonbons pour les tuer en douceur.)

Monsieur.

En relisant le forum (à la recherche d'une date), j'ai remarqué que tu ne répondais jamais aux questions, quand tu n'allais pas très bien et qu'on demandait de tes nouvelles. J'ai trouvé ça triste. Enfin. C'est plutôt parce que. Avant, Maurina se plaignait beaucoup (pardon Mau'-Miaou, rien de méchant hein). Maintenant c'est moi qui me plains sans cesse. Et toi, tu es celui qui a veillé et qui veille encore sur nous. Tu as toujours été gentil, tendre, patient. Tu nous as fait sourire. Tu as pris soin de nous. Mais Monsieur. Nous ne t'avons pas rendu cet amour, cette attention si généreusement donnée, et je trouve ça triste. On a beau dire que tu nous manques (ok pardon j'arrête de parler au pluriel), je n'ai jamais fait attention à toi comme tu faisais attention à moi. J'aurais aimé pouvoir te faire sourire plus souvent. Chasser les nuages gris de ton ciel. Adoucir tes peines, tel un ange, un vrai !

Mais je pense que. Enfin non, je ne pense pas. On me l'a fait comprendre récemment. Certaines personnes ont besoin d'exprimer leurs émotions. Et d'autres sont capables de les retenir. Fais-tu partie de ces gens adorables qui mettent leurs problèmes de côté et s'intéressent sincèrement à ceux des autres ? J'aimerais faire partie de ces gens. Mais malheureusement, je fais plutôt partie de la catégorie "je fais du mal aux autres et je m'en fous".

Monsieur. Un jour, je voudrais être aussi gentille et attentionnée que toi. Lorsque cet objectif sera atteint, je serai enfin digne d'être ton ange.

En attendant, je ne suis qu'une petite gamine aveuglée par ses pensées débiles, qui s'excuse pour l'inquiétude qu'elle te cause (qu'elle vous cause), et j'espère que tu vas bien, que ta vie est remplie de tendresse.

Merci, Monsieur. Prends soin de toi s'il te plaît.

Si ça peut te rassurer : je vais mieux. Je pense avoir compris où et à quel moment sont tombés mon sourire et mes ailes. Je les retrouverai. Et je retournerai au pays des anges, là où règne la douceur des Solaris.

Automne malade et adoré;
Tu mourras quand l’ouragan soufflera dans les roseraies.
Quand il aura neigé
Dans les vergers.

Pauvre automne.
Meurs en blancheur et en richesse,
De neige et de fruits mûrs.
[...]

Et que j’aime, ô saison! que j’aime tes rumeurs.
Les fruits tombant, sans qu’on les cueille.
Le vent et la forêt; qui pleurent
Toutes leurs larmes en automne, feuille à feuille...
...Les feuilles; 
Qu’on foule...
...Un train
Qui roule;
La vie...
S’écoule.

Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913

Bonjour mes petits sucres d'orge.

En cette période de fêtes, voici un petit quelque chose pour vous. J'ai hésité à tout supprimer parce que j'ai peur que ça soit mal accueilli, mais je tenais à faire parvenir ceci à certaines personnes encore sur ce forum et que je ne peux contacter autrement.
https://madmagz.com/fr/magazine/929860
Si vous voyez des pages en double, c'est que Madmagz bug.

Prenez soin de vous quoi qu'il arrive. Désolée de resurgir comme ça, je tenais simplement à laisser un dernier mot à certains. Je ne reviendrai pas squatter ce compte.
Pardon aussi à ceux qui ne sont pas concernés par ces mots, et qui m'en veulent d'être en vie.

En espérant que le Madmagz ne vous déplaira pas. Pardon si c'est le cas.

(Merci Elzipatate. <3)

Les temps sont durs pour moi, et j'aurais aimé t'en faire part comme je le faisais avant. Tes messages me soulageaient énormément. Merci infiniment pour tout ce que tu as fait, Tonton. Je t'aime très fort.
J'espère que rien de grave ne t'arrive à toi. Le mois prochain tomberont le reste de mes examens mais à ce qu'il paraît ce sera dans ces jours-là que sera ton anniversaire. Alors je penserais très fort à toi.
Porte-toi bien.

D'après les dires, tu es né en Juin, comme je l'ai dit dans mon message précédent. J'voulais te le dire le 14, parce que je sais pas, j'ai presque envie de dire que tu es né un 14. Mais bon. Je risque d'oublier avec les révisions alors je te le dis maintenant : Joyeux anniversaire

Je pense à toi. Quel âge as-tu cette année? Est-ce quetout se passe bien de ton côté?
Je voudrais te cacher que les temps se sont durçis et que les pensées que je t'avais confié reviennent. Mais je pense à ce que tu m'avais répondu à ces pensées. Ça me donne un peu de force. Merci énormément. Je t'aime tonton. Porte-toi bien. Mange bien, dors bien, continue de veiller sur les autres comme tu l'as fait pour moi.
Puisses-tu être encore en vie...

J'ai fait une crise. J'ai contacté une amie avec qui je n'avais plus parlée depuis presque un an et demi, et pour essayer de me calmer, elle m'a dit que si j'avais perdu espoir, alors en effet ma vie était fichue. Et ça m'a fait penser à toi. Et ça m'a beaucoup aidé à me calmer.
T'es le meilleur, Tonton.
Tu me laisse croire qu'il existe encore des personnes bien sur cette planète.
Je t'aime très fort.

J'ai eu mon Bac. Si tu vis toujours dans les alentours, peut-être que tu as vu sur le journal une certaine Maurine, en Terminale Littéraire, l'avoir. C'est moi, Tonton.
Et c'est en partie grâce à toi que je l'ai eu.
Tu m'a donné beaucoup de courage même si tu es plus là depuis longtemps.
J'ai passé mes oraux au Carnot. Pour rester calme, je me disais qu'il se pouvait que ce soit là où tu ais étudié. Je prenais une grande respiration, je la bloquais, fermais les yeux, et prenais conscience des rayons de lumière qui passaient à travers les fenêtres. Puis j'expirais et pensant à toi. Et ça me rendait heureuse.
Et tu sais quoi? Au final c'est les examens que j'ai passé là-bas qui m'on rapporté le plus de points. J'ai eu 15 en anglais et 16 en espagnol par exemple. Bien sûr, sans l'aide d'autres personne telles que Lady Maria, ça aurait été difficile. Mais j'ai passé les oraux après avoir rompu alors tu as aussi ta part de mérite.
Merci du fond du coeur, Tonton. Grâce à toi, je ne vais pas vivre chez le compagnon de ma mère. Grâce à toi je vais pouvoir enfin me faire soigner comme il le faut, sans que j'ai à m'inquiéter pour cette "mère".
J'ai un peu peur de vivre seule à présent. C'est pas le fait de dormir seule ou autre. C'est plus le fait de faire un nouveau départ. Mais je dois impérativement le prendre.
Et puis après tout, Iru est de passage. Il faut que je vois le bon côté des choses, même si tu ne serais plus là!
Oh. C'est vrai.
Je rentre en LLCE Espagnol l'année prochaine. Je penserais beaucoup (énormément) à toi. Je vais avoir besoin de beaucoup de courage. ♡

J'aimerais beaucoup avoir de tes nouvelles.
Je t'aime très fort. Et je le dirais autant de fois qu'il le faut.

Je t'aime.
Je vais pas bien. Je veux me tirer une balle. J'ai ouvert mon coeur à une psychologue et ... et même Bryan m'a beaucoup mieux traitée au fils des années.
Dis-moi que tu vas bien. Je t'en supplie. Ton existence une des seules raisons qui me pousse à continuer. C'est misérable de dire ça mais... c'est la vérité.